Publications

REBONDIR : une solution au décrochage post-BAC

Pour répondre aux problématiques d’orientation ou de réorientation des jeunes ayant le Bac, la CCPA développe une expérimentation pour éviter le décrochage post-bac, travailler la réorientation et aider ses entreprises à recruter. Ce projet est nommé « Rebondir ». Mis en œuvre par la Mission Locale Jeunes, il a déjà permis à plus de 30 jeunes de reprendre une dynamique positive en emploi ou en formation.


ADAPA

Lien vers le site : http://www.adapa01.fr/on-recrute



Une question sur votre logement : des juristes vous informent gratuitement !

L’ADIL de l’Ain, Agence départementale d’information sur le logement, a pour mission de délivrer gratuitement des conseils juridiques, financiers et fiscaux sur  le logement et l’habitat.

Ses conseils, délivrés par des juristes spécialisés en droit immobilier, vous permettront de connaitre et comprendre les règles applicables en matière de location, accession à la propriété, copropriété, droit de la propriété, ainsi que les aides à l’amélioration de l’habitat et la rénovation énergétique.

Chaque année, l’ADIL de l’Ain délivre auprès d’un public varié (propriétaires occupants ou bailleurs/ locataires / collectivités et acteurs du logement), près de 13 500 conseils.

Pour consulter l’ADIL, vous pouvez prendre contact avec nos services au 04.74.21.82.77, nous adresser un mail adil@adil01.fr, ou prendre rendez-vous auprès de notre siège et de nos permanences de proximité.

Les services de l’ADIL sont ouverts sans interruption du lundi au jeudi de 9 heures à 18 heures et le vendredi de 9 h à 17 heures.

ADIL de l’Ain

34 rue du Général Delestraint,

01 000 Bourg en Bresse

Tel : 04.74.21.82.77

Mail : adil@adil01.fr

Site internet : adil01.org


Des panneaux solaires ont-ils un avenir sur votre toit à Saint Denis en Bugey ? (Découvrez le en 2 minutes)

C’est pour répondre à cette question et vous aider dans vos démarches que la communauté de la Plaine de l’Ain met en place un cadastre solaire.


En quoi un cadastre solaire peut aider à installer des panneaux solaires ?

Sur le site internet www.plainedelain.insunwetrust.solar, vous aurez une vue aérienne du territoire de la communauté de communes de la Plaine de l’Ain. Cliquez sur votre toiture pour obtenir instantanément une estimation de son potentiel de création d’énergie renouvelable solaire.
Le cadastre solaire vous indique automatiquement quelle serait la meilleure optimisation et utilisation pour votre toiture : production d’énergie renouvelable solaire en autoconsommation pour diminuer vos factures d’électricité, vente totale de l’énergie produite sur le réseau pour gagner de l’argent, installation solaire thermique pour chauffer l’eau de votre logement à moindre coût…


C’est pour qui ?

Tout le monde ! Toutes les toitures sur la communauté de communes de la Plaine de l’Ain ont été analysés : habitants, entreprises, organisations… cliquez sur votre bâtiment pour obtenir une estimation.

La Communauté de communes de la Plaine de l’Ain
vous invite à vous équiper d’un dispositif en faveur des économies d’énergie et de la transition écologique.


Le CLIC

Comment avez-vous connu le CLIC ?
Encore en activité professionnelle , j’étais aidante  de ma maman atteinte de la maladie d’Alzheimer .
Sa maladie se dégradant , je cherchais de l’aide , mais  ne savais pas vraiment par quoi commencer
J’ai tout d’abord effectuer des recherches sur internet : c’est ainsi que j’ai découvert pour la 1ère fois l’existence de cette structure , sans plus approfondir
Un membre de ma famille, m’a incité à prendre un rendez-vous .

Qu’attendiez-vous de ce service ?
A la vérité , pas grand-chose : j’étais persuadée qu’au final j’allais devoir continuer seule l’accompagnement de ma maman

A quelles difficulté étiez-vous confrontée

Maman était seule toute la journée : elle perdait de plus en plus ses repères , ne s’alimentait plus correctement , avait perdu le sommeil , ne pouvait plus assurer les actes quotidiens de la vie , devenait agressive
Notre relation devenait tendue tellement j’étais à bout de forces .
La situation devenait ingérable

En quoi le CLIC vous a aidé et comment ?
En Mai , j’ai rencontré la coordinatrice du Clic : Enfin, j’ai été écoutée , entendue , soutenue : le CLIC allait prendre le relais
On m’a expliqué sereinement quelles étaient les possibilités de prises en charge
Un suivi personnalisé a été mis en place , des entretiens ont eu lieu à plusieurs reprises au domicile en présence de maman .
le CLIC  à pris en charge toutes les démarches administratives et dans le même temps je peux dire que l’on m’a également prise en charge avec un soutien indéniable .

Un petit mot de conclusion
Depuis Août 2019 , soit 4 mois après ma rencontre avec le CLIC , maman à intégrer un EHPAD ou elle est prise en charge avec un personnel compétent en rapport avec sa pathologie .
La “séparation ” s’est faite sans douleurs dans la mesure où , grâce au CLIC j’ai été accompagnée tout au long des étapes ,je serai à jamais reconnaissante envers MME LARTIGUE et son équipe .


 

 

 

 

 

Le tri, toujours + facile !

Depuis le 15 janvier 2021, les habitants de la CCPA peuvent déposer, dans les sacs jaunes, tous les emballages ménagers légers ainsi que tous les papiers graphiques.

Les premiers résultats sont très encourageants. En effet, du 15 janvier au 30 septembre 2021 :

  • Les quantités de déchets triés et mis dans le sac jaune ont augmenté (+7% en tonnages),
  • Les erreurs de tri ont nettement diminué (15% de déchets mal triés contre 24% en 2020).

BRAVO à TOUS !

Bon à savoir …

Comment savoir si un objet est à trier dans le sac jaune ? En cas de doute, je me pose la question « est-ce un emballage ménager ? », si la réponse est « OUI », mon déchet va dans le sac jaune. Si ce n’est pas un emballage (jouets, bâches en plastique, ustensiles…), il va en déchèterie pour les gros objets et dans la poubelle habituelle pour les plus petits.

Le masque jetable fait à présent partie de notre quotidien. Ce n’est pas un emballage, il doit être jeté dans la poubelle habituelle, à l’intérieur d’un sac fermé.

Les emballages de produits de jardinage et bricolage (pots de peinture, solvants, acides, etc.) sont à déposer en déchèterie.

 

Prévention des déchets ou comment moins en produire…

Le traitement des déchets coûte de plus en plus cher et cela va encore augmenter dans les années à venir. Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas ! oui mais, comment faire au quotidien pour réduire la quantité de déchets produite ?

Je fais du compostage : les déchets de type épluchure de fruits ou de légumes, feuilles, tonte de pelouse… peuvent se composter. Au bout de quelques mois, ils se transforment en amendement organique pour le jardin ou les balcons. Dans la poubelle habituelle, XX % sont des déchets pouvant être compostés. Bon à savoir : la CCPA soutient l’achat de composteur en remboursant jusqu’à 70 % du coût d’achat (sur présentation de la facture d’achat et d’un justificatif de domicile).

Quand je fais mes courses : dans les magasins, je peux choisir d’acheter certains produits en vrac ou encore choisir des points de vente où il est possible de venir avec ses propres contenants. Demandez à vos commerçants, cela se développe de plus en plus. Pendant l’acte d’achat, je peux aussi privilégier le produit qui présente le moins d’emballages.

J’opte pour le « fait maison » : retrouver le plaisir de la bonne odeur d’un gâteau cuit au four ou encore la joie de partager une fabrication de biscuits avec ses enfants, cuisiner au lieu d’acheter des plats tout prêts…autant de petits gestes qui aident à réduire la quantité de déchets produits, il n’est pas forcément nécessaire de le faire chaque jour, une fois de temps en temps, c’est déjà un grand pas ! Et, pour les plus ambitieux, il est également possible de fabriquer ses propres produits d’entretien.

En balade ou au bureau : je prends une gourde rechargeable plutôt qu’une bouteille en plastique jetable, je transporte mon encas dans des boîtes réutilisables…

Vous avez d’autres idées, partagez-les avec nous sur dechets@cc-plainedelain.fr

 

Que deviennent nos déchets ?

Après avoir collecté les déchets, la CCPA se charge de les traiter. Où vont-ils exactement ? Sont-ils vraiment bien traités ?

Les ordures ménagères résiduelles – OMR (poubelle habituelle) :

Les OMR collectées sur les 10 communes du secteur de l’ex-Communauté de Communes Rhône Chartreuse de Portes sont directement vidées à l’usine de valorisation énergétique de Bourgoin-Jallieu (38) pour y être traitées. Leur incinération engendre la production d’énergie (chaleur et électricité). Les résidus qui en découlent sont orientés vers des sites de stockage réglementés.

Pour plus d’informations, se référer au rapport annuel du SITOM NORD-ISERE.

 

Les OMR collectées sur les 43 communes du reste du territoire, sont déchargées au quai de transfert de la CCPA, localisé à Sainte-Julie. Elles sont ensuite acheminées vers l’usine de valorisation bioénergétique des déchets ménagers – OVADE, par des semi-remorques. Là, elles subissent un tri mécano-biologique visant à séparer les déchets fermentescibles des autres déchets (refus, ferrailles…).

 Pour plus d’informations, se référer au rapport annuel d’ORGANOM.

 

Les emballages légers (c’est-à-dire hors verre) et les papiers triés par les habitants sont transportés jusqu’au quai de transfert de Sainte-Julie. Ils sont ensuite acheminés par double bennes au centre de tri TRIVALO69, à Chassieu (69). Là, ils sont séparés par catégorie de matériau, puis expédiés vers des filières de recyclage différentes selon les matériaux (plastique PET, PP ou PEHD ; acier ; aluminium ; papiers-cartons ; briques alimentaires…

 

Les emballages en verre triés par les habitants sont acheminés vers des centres de traitement pour être, in fine, recyclés en bouteilles de verre après avoir été transformés en calcin.

 

Le saviez-vous ? Avec les briques alimentaires de lait ou de jus de fruits, on fabrique des rouleaux de papier hygiénique. Avec des bouteilles de lait en plastique opaque, on peut fabriquer des bacs roulants pour les poubelles !

 

Les déchets, combien ça coûte vraiment ?

La CCPA organise la collecte de la poubelle habituelle, des emballages et papiers (sacs jaunes) et des emballages en verre. Elle gère aussi les déchèteries. L’ensemble des déchets collectés est ensuite traité dans des filières adaptées. Combien ça coûte ? est-ce que la collectivité fait des bénéfices ?

Le montant annuel des dépenses de prévention et de gestion des déchets (collecte et traitement) comprend l’ensemble des dépenses directes de fonctionnement (marchés de prestations de service, locations, fournitures diverses et études), les dépenses de personnel directement affecté à la collecte et au traitement des déchets ainsi que les frais de structure (amortissements, entretien des bâtiments, infrastructures …). Les investissements sont intégrés via un calcul d’amortissement. En 2020, les dépenses de prévention et gestion des déchets (fonctionnement et amortissements) se sont élevées à 11 120 233 €.

Les recettes englobent les soutiens des éco-organismes dont le rôle est d’aider les collectivités à collecter et traiter les déchets, la revente de matériaux issus des emballages et papiers triés, la redevance spéciale payée par certains professionnels disposant d’une collecte hors périmètre du service public. En 2020, elles se sont élevées à 1 680 000 €.

Le coût net du service (dépenses – recettes) est donc de 9 440 233 €. De son côté, la taxe incitative d’enlèvement des ordures ménagères (TiEOM) a représenté 7 978 324 €. Le budget du service n’est donc pas équilibré. La CCPA étudie des marges de manœuvres pour équilibrer le budget sans faire exploser la TIEOM.

Plus en détails, flux par flux :

Coûts nets

(en €)

Poubelle habituelle (OMR) Tri

(emballages et papiers)

Verre Déchèteries
En € / tonne 318,4 227,3 20,1        133,8

En coût à la tonne, ce sont les ordures ménagères qui coûtent le plus cher. Le verre reste le flux le moins coûteux lorsqu’il est bien trié, c’est-à-dire lorsqu’il est déposé dans le conteneur à verre.